Project A119
Sous le nom de “A Study of Lunar Research Flights”, l’armée de l’air envisage secrètement de tirer des missiles nucléaires sur la Lune.
Sous le nom de “A Study of Lunar Research Flights”, l’armée de l’air envisage secrètement de tirer des missiles nucléaires sur la Lune.
The Lop Nur nuclear test site in northwestern China, photographed on December 8, 1966, during a KH-7/GAMBIT satellite reconnaissance mission. A test occurred on December 28, 1966.
Le mannequin fantôme FM-2 a été mis au point à l’Institut de recherche sur les problèmes médicaux et biologiques de l’Académie des sciences de l’URSS en 1968. Sa première mission a eu lieu à bord de Zond 7 en août 1969. FM-2 a survolé la lune à bord de Zond-7 à une distance de 1984,6 km. FM-2 a été réutilisé lors du vol orbital de six jours de Cosmos 368 en octobre 1970. Il a ensuite été mis à l’honneur au Musée polytechnique de Moscou. Le mannequin avec le visage de Gagarine a été conçu pour étudier l’effet des radiations spatiales sur le corps humain. La tâche était compliquée par le fait que pour évaluer correctement la dose de rayonnement, il fallait que le mannequin réagisse au rayonnement de la même manière que les tissus du corps humain. Cela explique le choix inhabituel des matériaux : blé et sciure de bois.
Here we have two diagrams of the Nagasaki atomic bomb (Fat Man) based on information passed on to the Soviets from Klaus Fuchs and other spies. These aren’t particularly sensitive today, but would have been Top Secret–Restricted Data when they were acquired. On the right is the basic dimensions of the body of the bomb, and on the left is a more detailed arrangement showing the electrical systems inside the bomb. As anyone reading this blog no doubt knows, the Soviet Union had a number of spies in high places in both the US and UK sides of the Manhattan Project, which they dubbed “ENORMOZ” in their code language.
http://blog.nuclearsecrecy.com/2012/07/27/rare-photos-of-the-soviet-bomb-project/
Perspective view of a mine at Taboshar, Tajikistan, from 1944. Taboshar was one of the few early sources of Soviet uranium, known since the 1920s and mined extensively for uranium since 1945. The acquisition of raw uranium was the key setter of the timetable of the Soviet bomb program. They had very few known sources of the ore at the end of World War II, and the United States and the United Kingdom had worked behind the scenes to attempt secure a monopoly on all other known world supplies. General Groves thought their access to uranium was so bad that it would take the Soviets 20 years to get a bomb — but it turned out that uranium is more plentiful than he realized, and concentrations that wouldn’t be economic to mine for the United States turned out to be just fine for Soviet slave labor.
The Soviet Union made no announcement after its first atomic bomb test in 1949—but the US did. This is the hitherto untold story of how the secret was extracted from rainwater.
Herbert Friedman, Luther B. Lockhart and Irving H. Blifford
Image : Joe-1, 29 August 1949. Photo from Peter Kuran’s film “Trinity and Beyond: The Atomic Bomb Movie,” as displayed on nuclearweaponsarchive.org, and used with permission of Peter Kuran.
Le zircon est formé à partir de magma acides, il est donc présent dans les roches magmatiques riches en feldspaths comme ici le granite. ors de leur cristallisation au sein des magmas, les cristaux de zircons incorporent, entre autres éléments chimiques, une petite proportion d’uranium (radioactif). La désintégration radioactive de l’uranium est à l’origine d’auréoles… Lire la suite Zircon
Le souffle brûlant de la déflagration a dévasté Nagazaji ce 9 août 1945, faisant plus de 70 000 morts, a pulvérisé les vitraux et les murs de l’édifice, brûlé son autel et fait fondre sa cloche. Mais la tête d’une statue en bois de la Vierge Marie a survécu au brasier, gisant parmi les colonnes effondrées et les débris de l’église romane. L’icône a conservé les stigmates de la guerre: les yeux ont brûlé, laissant deux orbites noires, la joue droite est noircie et une fissure court le long du visage comme une larme.
Au cours de l’été 1944, pour la première fois, la menace d’une bombe atomique se répand. Il avait été indiqué à la mission diplomatique allemande à Lisbonne qu’une bombe atomique serait larguée sur Dresde, dans les six semaines à venir, si le gouvernement nazi ne demandait pas la paix sous une forme ou une autre. Soixante ans plus tard, l’artiste Antje Majewski et l’auteur Ingo Niermann ont organisé une exposition réunissant des artistes internationaux de différentes générations. Les œuvres, qui pour la plupart ont été créées pour l’exposition, traitent non seulement de la conscience collective des images inextinguibles des “champignons atomiques”, mais reflètent également les dispositions psychologiques dans l’ombre de la bombe. Même si notre peur appartient au passé, la menace appartient au présent.
Dreams, x-rays, atomic radiation, and “invisible men” are phenomena that are visual in nature but unseen. Atomic Light (Shadow Optics) reveals these hidden interiors of cultural life, the “avisual” as it has emerged in the writings of Jorge Luis Borges and Jacques Derrida, Tanizaki Jun’ichirô and Sigmund Freud, and H. G. Wells and Ralph Ellison, and in the early cinema and the postwar Japanese films of Kobayashi Masaki, Teshigahara Hiroshi, Kore-eda Hirokazu, and Kurosawa Kiyoshi, all under the shadow cast by the atomic bombings of Hiroshima and Nagasaki.
Inspiré par les premiers rayons X, l’expérimentateur Louis Darget a développé une radiographie portable qui, selon lui, pouvait imprimer des images de pensées et de rêves sur des plaques photographiques. Comprenant une plaque photographique attachée à un bandeau, Darget a soutenu que «Lorsque l’âme humaine produit une pensée, elle envoie des vibrations à travers le cerveau, le phosphore qu’elle contient commence à rayonner et les rayons sont projetés». Exposé plus tard comme une fraude par l’Académie française des sciences, il a néanmoins continué à interpréter les images étranges et fantômes produites par sa radiographie, convaincu que c’était la clé pour comprendre ses rêves.
En 1932, Carl David Anderson découvre le positron en étudiant les rayons cosmiques
Two thousand miles away from the U.S. A-bomb tests in 1945, something weird was happening to Kodak’s film.
A radioactive surgeonfish makes its own x-ray. The bright area is a meal of fresh algae. The rest of the body has absorbed and distributed enough plutonium to make the scales radioactive. The fish was alive and apparently healthy when captured.
A parachute-retarded LRL device in a MK-36 drop case. This was a test of advanced principles for achieving high-efficiency thermonuclear burn, and successfully confirmed theoretical predictions. It was said to “show the way to a new range of possibilities in high-yield design”. This was the last Christmas Island airdrop, and the third largest test of Operation Dominic. Yield-to-weight ratio was 0.934 kt/kg (but then this was an experiment, not a final weapon configuration).
https://nuclearweaponarchive.org/Usa/Tests/Dominic.html
À la fin des années 1930, Harold Edgerton, ingénieur au MIT, a été le pionnier des techniques de photographie à ultra-haute vitesse, pour révéler une balle éviscérant une pomme, la spirale d’un coup de golf ou la chute d’une goutte de lait. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Edgerton a travaillé avec la Commission de l’énergie atomique au développement d’une camera, le Rapatronic, capable de fixer le flash incandescent d’une explosion nucléaire jusqu’au milliardième de seconde. Sur une tour, à dix kilomètres du site d’essais, Edgerton et ses assistants ont ainsi pu enregistrer cette forme rougeoyante comme une forme de vie extraterrestre.
The Nuclear Weapon Archive, A Guide to Nuclear Weapons
One of the lesser-known, but still epic events of the nuclear research program was “Project Faultless,” an underground detonation of a megaton nuclear bomb in the middle of the Mojave.
Membre de la Flight Test Historical Foundation, du Nevada Test Site Historical Foundation, du Musée National Atomique, Peter Merlin passe une grande partie de son temps à explorer le sud-ouest des États-Unis à la recherche de villes fantômes, de mines, de grottes, de ruines préhistoriques et d’art rupestre, de sites d’essais nucléaires, de silos de missiles abandonnés, de fossiles et de caractéristiques naturelles intéressantes. Merlin donne occasionnellement des conférences sur l’histoire de l’aérospatiale, l’archéologie préhistorique et l’histoire des essais nucléaires.
The CTB (Chernobyl Tissue Bank) is a unique venture. It is the first international cooperation that seeks to establish a collection of biological samples from tumours and normal tissues from patients for whom the aetiology of their disease is known – exposure to radioiodine in childhood.
Tous les cinq ans, l’Andra réalise une nouvelle édition de l’Inventaire national des matières et déchets radioactifs. Cette publication est complétée chaque année par un document, les Essentiels, qui présente l’évolution annuelle des stocks de matières et déchets radioactifs produits en France.
Over the past 60 years a great number of very large datasets have been generated from the experimental exposure of animals to external radiation and internal contamination. This accumulation of ‘big data’ has been matched by increasingly large epidemiological studies from accidental and occupational radiation exposure, and from plants, humans and other animals affected by environmental contamination. We review the creation, sustainability and reuse of this legacy data, and discuss the importance of Open data and biomaterial archives for contemporary radiobiological sciences, radioecology and epidemiology.
https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/09553002.2019.1589026
L’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA) est un Établissement public à caractère industriel et commercial (ÉPIC) chargé de la gestion des déchets radioactifs en France. En 2003, l’ANDRA choisit d’inscrire certaines de ses archives sur du papier permanent avec de l’encre résistante, garantissant une préservation d’au moins 300 ans, afin de se conformer au décret no 2003-30 du 10 janvier 2003 qui oblige le centre d’enfouissement de déchets radioactifs de la Manche à pérenniser l’information relative aux déchets stockés au-delà de sa fermeture.
Cette page présente les ensembles documentaires relatifs aux essais nucléaires en Polynésie française qui font l’objet d’une ouverture au public.
Mémoire des hommes/Portail culturel du ministère des armées
Unique en France, le fonds d’archives en sûreté nucléaire de l’IRSN propose une vision complète en matière d’expertise du suivi des installations nucléaires françaises. Les archives couvrent également les sujets liés à la radioprotection de l’homme et de l’environnement.
Ces fonds de plus de 14 km linéaires aujourd’hui, répartis sur toutes les implantations de l’Institut, se composent d’une importante typologie de documents scientifiques et techniques, des années 1950 à nos jours.
https://www.irsn.fr/FR/IRSN/archives/Pages/default.aspx#.YZ-21dDMLIU
The Toxic Camera, Konvas Autovat, 2012
Bronze and concrete
9 3/4 × 7 3/4 × 7 3/4 in
24.8 × 19.7 × 19.7 cm
Edition of 4
The Toxic Camera is a short film by British artists and Turner Prize nominees Jane and Louise Wilson that reflects on the 1986 Chernobyl disaster. Inspired by the story of filmmaker Vladmir Shevcheko, who died a few months after making Chernobyl: A Chronicle of Difficult Weeks, and his highly radioactive camera, The Toxic Camera interconnects the stories of survivors, 25 years later, to explores the vulnerable nature of the landscape and the human body.
Abel Niépce de Saint-Victor découvre, entre 1857 et 1861, que certains sels sont capables de voiler les émulsions photographiques, même dans l’obscurité. Ses résultats sont communiqués par Chevreul à l’Académie française des sciences, le . Abel Niépce de Saint-Victor réalise, en 1858, que cet effet anormal est dû aux sels d’uranium. Il s’aperçoit que la « lumière » qui impressionne ses plaques photographiques n’est due, ni à la phosphorescence, ni à la fluorescence, car les sels peuvent voiler les plaques très longtemps après avoir été exposés à la lumière du Soleil. C’est à Henri Becquerel que va être attribuée la paternité de la découverte, en 1896, de la radioactivité naturelle.
Depuis septembre 2016, Andromède est équipé de ses 2 lignes de physiques. En effet le projet Stella de l’IPHC s’est installé sur la ligne à 90° pour les expériences d’astrophysique nucléaire. Le dossier ASN a été déposé et Andromède à l’autorisation d’effectuer des tests depuis le 31 octobre 2016.
Ludovic Bernhardt, Réacteur 3 [Fukushima] est une exploration poétique des vidéos filmées par les robots explorateurs et “décontaminateurs” de la centrale nucléaire de Fukushima : errance du robot Little Sunfish qui s’est aventuré dans les eaux radioactives du réacteur 3 de la centrale.
Ce livre veut enfoncer le langage dans les toxicités visuelles, sombres et granuleuses, de la catastrophe techno-scientifique. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, des zones interdites à l’homme par leur haut degré de contaminations radioactives s’installent dans une géographie du chaos : les robots se substituent à l’être humain pour explorer l’inexplorable. Réacteur 3 [Fukushima] est un texte post-apocalyptique sur la catastrophe nucléaire, la robotisation du monde contemporain, les images-machines et leurs pulsions scopiques.
De Pripyat, ville fantôme vidée de ses habitants, on a retiré la statue de Prométhée qui se situait à l’origine en face du cinéma, pour la placer à l’entrée de la centrale, où elle se dresse toujours. Ses bras levés vers le ciel rendent désormais hommage à l’armée des liquidateurs de la catastrophe de Tchernobyl.
Fruit du contexte tourmenté de l’après-guerre, l’œuvre de l’artiste japonais Tetsumi Kudo a pour fondement créateur le traumatisme de la catastrophe nucléaire. Les corps humains démembrés, hybrides qu’il ne cesse de remettre en scène relèvent néanmoins plus de l’ironie que du macabre. Associés à la technologie et à la pollution, ils forment l’expression d’une nouvelle synthèse du vivant, d’une « nouvelle écologie » selon les termes de l’artiste.
Aurélie Pétrel, Vincent Roumagnac : Partition : Fukushima #1, 2013
Trois tirages, dos bleu, 100 x 66 cm, cadre en noyer massif huilé, 106 x 5,5 x 75 cm, verre
Tirage, dos bleu, 150 x 249 cm, structure en acier et trois pinces à dessin
Impression directe sur peuplier, lasure blanche et incolore, 150 x 252 cm
Auteur de l’image rephotographiée : Vincent Roumagnac
Trois plaques en verre, 100 x 0,6 x 67 cm, plaque en verre, 100 x 0,6 x 80 cm, structure en acier
Trois résidus, impression directe sur peuplier, lasure blanche et incolore, 150 x 252 cm
Bettina Samson, Comment, par hasard, Henri Becquerel découvrit la radioactivité, 2008-2009
Série de 9 photographies argentiques sur papier baryté, 80 x 100 cm
Photographie Martin Argyroglo
La salle de répétition du Conservatoire de Prypiat, ville évacuée en 1986. Dans un décor délabré, dans une pièce aux portes et fenêtres ouvertes, trône un piano renversé. Quelle est l’histoire de cette scène ?
Sus scrofa ante-fessenhensis est une œuvre qui explore le territoire de la centrale nucléaire de Fessenheim en convoquant, telle une figure tutélaire, le sanglier de Fessenheim. Le banquet, repas partagé, est conçu comme une performance participative rassemblant 80 convives autour de la chair de l’animal. Menu unique.
Comme toutes les matière vivantes, l’orge distillée en whisky a absorbé du carbone : du carbone 12 “ordinaire” et une faible proportion de ses isotopes 13 et 14. C’est l’étude des proportions respectives de carbone 14 et de carbone 12 et 13 qui permet aux archéologues de dater les vieux objets faits de matière organique. Au fil du temps, le carbone 14 se désintègre selon une loi connue. Donc, plus la proportion de l’isotope 14 est faible, plus l’objet est vieux. Si l’orge qui a été distillée a poussé après les essais nucléaires, ce taux de carbone 14 sera anormalement élevé. Cité par The Telegraph, le directeur du laboratoire d’Oxford Tom Highman parle d’une “signature” spécifique de la deuxième moitié du XXe siècle.
Thomas Levy-Lasne, À Pripiat 2020 huile sur toile 150x200cm
Les rayons cosmiques qui frappent l’atmosphère terrestre génèrent des muons, résultant d’une réaction nucléaire entre ces rayons et les atomes de l’atmosphère. Ces flux de muons sont très pénétrants et des millions de ces particules traversent le corps d’une personne, chaque jour. Elle est principalement utilisée en volcanologie mais a également été appliquée en archéologie et notamment pour l’étude de la Pyramide de Khéops.
OPEN CARE is a set of artefacts which propose a social thought experiment: what if nuclear waste were a very personal responsibility and thus part of our everyday life and our cities? It is an imaginary system for distributed nuclear waste storage which implicates us intimately in a much longer swathe of the future than most of us can imagine easily. The waste is encapsulated in steel pellets mounted in a bronze disk. An electroscope, gold leaf, an electrostatic rod and fur to charge it are provided along with instructions to check the level of radioactivity periodically, from generation to generation, to ascertain whether the waste of which you are custodian has become safe “or if you and your descendants need to continue to care about it.” Rendering the huge timescale of radioactive decay into more meaningful units of lifetimes opens the question of collective care from a fresh perspective.
Les X-ray records sont des radiographies médicales sur lesquelles sont gravées de la musique. Une technique qui date de l’époque soviétique où la musique est résistance et se vend sous le manteau.
En 2014, Pierre Huyghe conçoit Untitled (Human Mask), après la catastrophe nucléaire de Fukushima. Le film commence par une séquence dévoilant la ville dévastée.
https://balises.bpi.fr/untitled-human-mask-de-pierre-huyghe-par-maria-stavrinaki/
https://jacqueshenry.wordpress.com/tag/technetium-99/
Le lac Chagan (ou lac Balapan), situé au Kazakhstan, est un lac créé par l’essai nucléaire Chagan effectué le par l’Union soviétique, dans le cadre du programme pacifique d’explosions nucléaires pour l’économie nationale. Le but de cette explosion, comme de nombreuses autres de ce programme, était de créer artificiellement des réservoirs d’eau. Après la création du cratère, un canal d’alimentation a ensuite été établi avec des engins de terrassement, pour le remplir. Souvent considéré comme un « lac atomique », il a un volume d’environ 10 000 000 m3. En 2016, l’artiste Louis-Cyprien Rials le traverse à la nage.
«L’oeil est un organe plus sensible qu’on le croyait jusqu’alors», souligne Jean-François Lecomte, de l’IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire), secrétaire du comité 4 de la CIPR, chargé de l’application des recommandations. Ce n’est qu’à la fin des années 1990 que plusieurs études épidémiologiques ont montré que la radioactivité augmente le risque de cataracte, une maladie de la vieillesse qui se traduit par une opacification du cristallin et peut conduire à la cécité.
Le 13 juillet 1978, alors qu’il inspectait l’U-70 — le plus grand accélérateur de particules de l’Union soviétique — dans le cadre de son travail de thèse, le crâne de Bougorski a été accidentellement traversé par un faisceau de protons de 76 milliards d’électrons volts ! À titre de comparaison, l’énergie utilisée dans la protonthérapie, un traitement du cancer qui utilise des protons pour détruire les tumeurs, est de « seulement » 250 millions d’électrons volts.
Abbey Hepner’s Transuranic series includes images of every nuclear site in the Western United States that sends radioactive waste to the Waste Isolation Pilot Plant (WIPP). Waste stored in this facility in southern New Mexico is buried deep in the earth and is intended to rest for 10,000 years. Hepner printed her photographs using uranium salts instead… Lire la suite Transuranic
The Atom. One World 1947–48 The Atom. One World records what, for the artist, was a crucial visual trope associated with his assessment of emerging new technology and its subsequent impact on the world. In presenting an image of the ominous mushroom cloud of a nuclear explosion, Pousette-Dart highlights the irony of world unity attained through… Lire la suite Pousette
Traces radioactives des doigts de Marie Curie
Figure 2. The famous observation of the τ meson in nuclear emulsion exposed to cosmic rays. This was the first clear indication of the existence of the many heavy mesons which have now been identified. The experiment used electron sensitive emulsion, which had just been produced, and was carried out by Brown, Camerini, Fowler, Muirhead,… Lire la suite τ Meson
In particle and nuclear physics, a nuclear emulsion plate is a photographic plate with a particularly thick emulsion layer and with a very uniform grain size. Like bubble chambers, cloud chambers, and wire chambers nuclear emulsion plates record the tracks of charged particles passing through. They are compact, have high density and produce a cumulative record, but have the disadvantage that the plates must be developed… Lire la suite Emulsion nucléaire
Le Bevatron (Billions of eV [a] Synchrotron) était un accélérateur de particules — plus précisément un synchrotron de proton à focalisation faible — situé au Laboratoire national Lawrence-Berkeley, aux États-Unis. Exploité à partir de 1954, il a permis la découverte de l’antiproton en 1955, entraînant le prix Nobel de physique pour Emilio Gino Segrè et Owen Chamberlain en 1959. At the time the Bevatron was designed, it was strongly suspected, but not… Lire la suite Bevatron
A coalition is fighting a decision by the Environmental Agency to allow radioactive phosphate waste for road building. The EPA said such roads cannot be abandoned because homes might then be built on the radioactive land. Eight environmental and social justice groups along with one construction trade union group filed suit in December in the… Lire la suite Phosphogypse
DIS_ MAN_ TLING_ est un projet artistique engagé par Élise Alloin dans le bâtiment du Réacteur Universitaire de Strasbourg, jalon emblématique de l’histoire scientifique du Campus de Cronenbourg.
Le positronium, c’est une sorte d’atome exotique. Un mélange de matière et d’antimatière. Et placé dans un état que les physiciens connaissent sous le nom de condensat de Bose-Einstein, il constituerait l’élément clé du laser à rayons gamma. Or, un chercheur pense être prochainement en mesure de produire un tel condensat. Depuis longtemps, les chercheurs… Lire la suite Laser gamma
Le bâtiment mesure 300 m de long, 50 m de haut. À l’intérieur, des dizaines de faisceaux lasers convergent vers une sphère d’aluminium et de béton de 300 tonnes. Le projet Mégajoule est l’un des principaux éléments du programme militaire français Simulation, destiné à assurer la pérennité de la dissuasion nucléaire de la France après l’arrêt définitif des essais nucléaires en conditions réelles. Il s’agit aussi du laser le plus énergétique au monde.
Frank Niedercorn, Les Échos, 18 juillet 2019
Depuis la rentrée, les apprentis ingénieurs de la filière Génie nucléaire, dotés de casques de réalité virtuelle, peuvent depuis leur salle de cours se déplacer au cœur de réacteurs nucléaires. Retour en image sur l’étonnant voyage qui leur est permis de faire durant leur temps de formation et sur une filière d’excellence à la pédagogie… Lire la suite Cours magistraux
Des « points chauds » de radioactivité jusqu’alors insoupçonnés, où la radioactivité dépasse largement la moyenne, ont été détectés dans la zone d’exclusion de Tchernobyl par des chercheurs de l’université de Bristol lors d’une campagne de cartographie par drone en avril, selon un communiqué. Là, par exemple une usine de décontamination des sols désaffectée, en service après l’explosion,… Lire la suite Lidar
Des scientifiques cherchent dans les glaciers de l’Arctique, en Islande, dans les Alpes, le Caucase, l’Antarctique et l’ouest du Canada. Les carottes de forage présentent un pic à la date de Tchernobyl, et une pointe en 1963, intense période d’essais nucléaires. Avec la fonte des glaces, ces éléments vont être à nouveau libérés.
« Présage 2 » est le nom de la salle d’immersion en réalité virtuelle dont vient de s’équiper le Centre de l’énergie atomique de Marcoule. Elle sert à simuler les interventions de démantèlement en milieu irradiant et donc hostile.
EPR UK : Egis remporte une nouvelle mission 27/07/2018 Edvance, la nouvelle filiale d’EDF pour l’ingénierie des îlots nucléaires des centrales, a attribué à Egis mandataire du groupement ICOS, composé également de Tractebel et Setec, le troisième et plus important lot du contrat UK 1221 de l’EPR d’Hinkley Point (sud-ouest de l’Angleterre). Le contrat UK… Lire la suite Edvance
Des chercheurs étudient une meute de loups gris en Biélorussie. Alors que les adultes restent cantonnés dans la zone, un jeune mâle part errer au-delà des limites. Après seulement 21 jours, on identifie son signal à quelque 300 kilomètres de la zone d’exclusion de Tchernobyl. Impossible de savoir s’il va revenir.
27 juin 2018. EDF, Dassault Systèmes et Capgemini ont annoncé un accord de partenariat pour la transformation numérique de l’ingénierie nucléaire du groupe public. Leur objectif : accompagner les projets industriels dans la durée grâce à la mise en place de la plate-forme 3DExperience. L’outil contribuera à concevoir les jumeaux numériques des centrales nucléaires.
https://www.assystem.com/fr/parole-d-experts/lingenierie-nucleaire-passe-au-numerique/
Cylindrical in shape, about 3 feet long and undeterred by radioactive waste, RadPiper is a robot developed by a team of scientists at Carnegie Mellon University’s Robotics Institute to detect traces of nuclear material at a U.S. Department of Energy facility in Piketon, Ohio. It’s part of the CMU Pipe Crawling Activity Measurement System, and the… Lire la suite NukeBot
Absynth, HeHe, fiction climatique immersive – 2018 Absynth est un diorama à grande échelle qui reproduit l’espace d’une forêt. Dans cet environnement à la fois réel et abstrait, des événements climatiques artificiels surviennent faisant référence aux séquences météorologiques fantomatiques telles que la pluie acide ou les nuages toxiques. Le public se trouve ainsi devant une séquence… Lire la suite Absynth
Présente dans l’exposition En Suspens avec la vidéo “Go Get Lost !” (2018), Mélanie Pavy revient sur l’ensemble de son travail qui prend pour point d’ancrage le Japon après la catastrophe nucléaire. “Mon travail s’articule autour d’une question à la fois archaïque et éminemment contemporaine, celle de la fin du monde humain, et questionne la possibilité de… Lire la suite Bal
Stéphane Sautour à propos de Everything is a field or a maze, 2018-2019 « L’ensemble des dessins est composé de surfaces de gris colorés, recouvertes de papiers fixés à l’aide d’adhésifs, peuplé de Polaroïds réalisés lors de balades dans la région de Fukushima (Japon), et de dessins (au graphite) de paysages martiens faits à partir d’images collectées par… Lire la suite Cosmogramme
Earlier this year, Third Way, a Washington based think-tank, commissioned Gensler to come up with sketches and renderings that can be used to explain the role that advanced reactors could play in a variety of energy systems that enable the world to reach its goals for reducing CO2 emissions. Those renderings were exhibited at D.C.’s Fathom… Lire la suite Third way
La région minière des Monts métallifères (Erzgebirge/Krušnohoři), commune à l’Allemagne et à la République tchèque, revêt un caractère exceptionnel. Exploitée depuis plus de 800 ans pour ses minerais polymétalliques (argent, cuivre, cobalt, nickel, plomb, etc.), elle a été la première à ouvrir un site d’extraction de l’uranium. Cette production a été utilisée localement avec, en… Lire la suite Unesco
The accident at the Chernobyl NPP in 1986 was the most severe in the history of the nuclear industry, causing a huge release of radionuclides over large areas of Europe. The recently completed Chernobyl Forum concluded that after a number of years, along with reduction of radiation levels and accumulation of humanitarian consequences, severe social… Lire la suite Psychologie
Bleu Gorgone 2 est le fruit d’une technologie de pointe, dernier né d’une série de réacteurs développée par Stéfane Perraud. L’installation invite à s’immerger dans un espace où un rayonnement diffus laisse deviner quatre cuves disposées en croix sur une table optique. Chacun de ces réservoirs est surmonté d’un bloc optique et sonore qui sert d’interface… Lire la suite Bleu Gorgone #2
Si vous voulez mesurer la radioactivité avec votre smartphone Android ou iOS, il vous suffira d’acheter ce petit FTLAB FSG-001 qui est un compteur Geiger de poche, puis de le brancher à votre appareil via sa prise jack. Pour quoi faire me direz-vous ? Et bien pour mesurer la radioactivité de votre environnement, ce qui… Lire la suite Smart
Depuis le 26 mai, le Centre de stockage de la Manche présente une nouvelle exposition « Les archives du futur » Une autre vision du stockage des déchets radioactifs dans le monde. Elle est réalisée par Cécile Massart, artiste belge ayant réalisé différents reportages photographiques des Centres de stockage de l’Aube et de la Manche.… Lire la suite Archives du futur
Lors des 51es Rencontres de Moriond, la collaboration Double Chooz a affiné sa mesure de la disparition d’antineutrinos en provenance du réacteur nucléaire de la centrale de Chooz dans les Ardennes. La nouvelle valeur mesurée est sin2(2θ13) = 0.111±0.018.
http://irfu.cea.fr/Phocea/Vie_des_labos/Ast/ast_visu.php?id_ast=3728
Dans la mine d’argent de Joachimsthal, en Bohême, une roche noire porte malheur. On l’appelle pechblende. Ses émanations brûlent les bronches de mineurs qui la jettent dans les déblais. C’est à partir de ces déchets que se fait la découverte des premiers éléments radioactifs.
https://web.natur.cuni.cz/IGP/main/staff/sakala/04-divers/papers/ulminium-jachymov.pdf
L’outil développé par Solid’Express trouve des applications dans le nucléaire pour la simulation et la planification des situations opérationnelles. Depuis 2016 elle est utilisée par la centrale de Belleville. Cette année-là, un logiciel en 4D de la CNPE avait été développé, prenant en compte la dimension temporelle. L’application est utilisée pour gérer les interfaces chantier et piloter le plan d’occupation… Lire la suite Modélisation 4D
Mémorial de l’erreur, c’est ainsi que les créateurs présentent leur service d’assiettes nucléaires, qui figurent les centrales nucléaires allemandes. Ce service en porcelaine répond avec humour à la peur durable. Elle nous rappelle la présence continue de l’énergie nucléaire et de ses déchets qui vont continuer à rayonner sur plus de 17 millions d’années, tout… Lire la suite Atomteller
“Le projet auquel je travaille serait une grande esplanade (vue d’avion), une place. Ses dimensions seraient étudiées par rapport à sa situation, son exploitation, son environnement, sachant que celui-ci se modifiera. Cette esplanade serait surélevée avec un accès pédestre par des escaliers ou une pente transversale sur les côtés. Des dalles formeraient un graphisme qui… Lire la suite L’esplanade
Fovéa : emprunté au latin fovea centralis, “fosse centrale”, du latin fovea, “trou, fosse”.On appelle fovéa la “dépression médiane de la tache jaune au centre de la rétine, zone où la vision est la plus nette”. (Source : Dictionnaire culturel en langue française, Le Robert) Fovea centralis, c’est aussi le titre d’un documentaire de Philippe Rouy programmé cette année… Lire la suite Fovea Centralis
CEA/La Communication (Luc Bricout). Cette simulation illustre la modélisation des écoulements d’un réacteur nucléaire du futur en fonctionnement nominal (filière de réacteurs de 4ème génération à neutrons rapides refroidi au sodium). https://www.cea.fr/multimedia/Pages/videos/activites-du-cea/projet-labo-installation/simulation-numerique-nucleaire-du-futur.aspx
Cette installation interactive est inspirée par l’effet Tcherenkov, un phénomène similaire à une onde de choc produisant un flash lumineux lorsqu’une particule se déplace à une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière en milieu aquatique. Cet effet provoque la luminosité bleue de l’eau entourant le cœur d’un réacteur nucléaire. Le bleu évoque ici… Lire la suite Bleu Gorgone #1
C’est une exposition dont les œuvres ne sont pas en place ; elles ne peuvent pas ou ne peuvent plus l’être, parce qu’elles ont été irradiées. Jusqu’à l’accident nucléaire de Fukushima, le 11 mars 2011, elles étaient présentées au musée d’Histoire et de Folklore de la ville de Futaba, située à quatre kilomètres de la… Lire la suite Empaillé
Ils ont rempli 600 petits sacs de feuilles non contaminées pour les déposer à différents endroits de la forêt. « Dans les zones sans radiation, 70 % à 90 % des feuilles ont disparu au bout d’un an. Dans des zones plus irradiées, les feuilles gardent près de 60 % de leur poids d’origine. » Preuve, pour les chercheurs, que « la radiation a inhibé la décomposition microbienne » des feuilles qui jonchent le sol du site contaminé. Une découverte qui pourrait aussi expliquer la très lente croissance des arbres aux alentours de Tchernobyl. Ainsi que les très nombreux départs de feu.
Andréa Fradin, « Les arbres morts ne pourrissent pas à Tchernobyl, et c’est un vrai danger », Slate, 28 mars 2014.
Tim Mousseau, de l’université de Caroline du Sud aux États-Unis, et Anders Møller, de Paris-Sud.
Mme Krawczyk-Bärsch du Helmholtz de Dresden-Rossendorf (HZDR) a simulé, avec l’aide de collègues, le cas d’un fût présentant une fuite et duquel s’échappe de l’uranium. Les chercheurs ont placé dans une cellule de flux un échantillon de biofilm prélevé dans le tunnel du laboratoire souterrain finlandais d’Onkalo . Ils ont ensuite laissé de l’eau s’écouler… Lire la suite Biofilms
Suite brève et intense à son dernier long (4 Bâtiments face à la mer, compétition internationale FID2012), Philippe Rouy se rapproche, si l’on peut dire, du foyer de la catastrophe de Fukushima autant que du cœur de ce dérèglement invisible. À la différence du précédent qui montrait des images en plan large du site, et… Lire la suite Machine to machine
L’artiste suisse Julian Charrière a photographié le polygone nucléaire de Semipalatinsk au Kazakhstan où avaient lieu une grosse partie des essais nucléaires soviétiques pour photographier les ruines des installations sur du film noir et blanc avec un appareil moyen format argentique. Il a ensuite réalisé une double-exposition en irradiant les films avec des radiations nucléaires pour visualiser les vestiges… Lire la suite Julian Charrière
Tim Mousseau, qui a collaboré avec des scientifiques ukrainiens sur cette étude, a réalisé des recensements des espèces animales autour de l’ancienne centrale nucléaire soviétique. Avec Anders Moller, biologiste spécialiste de l’évolution à l’université Paris-Sud, à Orsay, ils ont notamment constaté une forte baisse de la variété et du nombre d’insectes et d’oiseaux dans les… Lire la suite Variété
La radioactivité émise après l’explosion de la centrale de Tchernobyl en avril 1986 a fortement ralenti la croissance des arbres les années suivantes, a constaté une équipe internationale de chercheurs qui ont réalisé des prélèvements dans la région. Ces conclusions, publiées dans la revue Trees, proviennent de prélèvements faits sur plus d’une centaine de pins sylvestres dans des zones en… Lire la suite Croissance
Tout comme les survivants des bombardements atomiques d’Hiroshima et Nagasaki, les oiseaux et les mammifères de la région souffrent de cataracte et présentent des cerveaux plus petits. Ce sont les conséquences directes de l’exposition aux substances radioactives présentes dans l’air, l’eau et la nourriture. Image : Hirondelle rustique de Tchernobyl, brume importante sur la cornée, par Timothy Alexander Mousseau, Anders Pape Møller
Trois mois après la catastrophe survenue à Fukushima en mars 2011, la TEPCO, exploitant de la centrale nucléaire installe une livecam sur le site. Ces images, où dates et heures défilent à vue, sont accessibles sur internet. Ce sera là, défi audacieux relevé par Philippe Rouy, la matière visuelle exclusive de 4 bâtiments, face à la… Lire la suite 4 bâtiments
Anaïs Tondeur, Chernobyl Herbarium, Linum strictum, Zone d’Exclusion, Tchernobyl, Niveau de radiation : 1.7 µSv/h
Débuté en 2011, ce projet prend la forme d’un herbier rayographique composé de trente photographies, créées en parallèle des recherches conduites par Martin Hajduch, de l’Institut de génétique et de biotechnologies des plantes de l’Académie des Sciences Slovaque, à Nitra. Ce laboratoire analyse les empreintes de la radioactivité sur la flore, en portant un intérêt particulier aux plantes herbacées, de la famille des Linacées, qu’il plante dans les zones fortement irradiées, autour de la centrale de Tchernobyl.
Animals living in areas contaminated by radioactive material from Chernobyl suffer from increased oxidative stress and low levels of antioxidants. Therefore, normal development of the nervous system is jeopardized as reflected by high frequencies of developmental errors, reduced brain size and impaired cognitive abilities in humans. Alternatively, associations between psychological effects and radiation have been… Lire la suite Cerveau
NADAV KANDER traveled to the steppes of Kazakhstan four years ago to see the “closed cities” of the Soviet nuclear testing area, a network of cities all but invisible to outsiders until the arrival of Google Earth. The photographer ventured first to the town of Kurchatov — named for the physicist who developed the USSR’s… Lire la suite Nadav Kander
La brûlure radiologique est la manifestation cutanée de l’irradiation aiguë localisée, elle est très spécifique et se différencie de par son évolution de la classique brûlure thermique. Elle est directement liée à la dose absorbée et elle évolue de façon imprévisible dans le temps même plusieurs années après l’accident initial vers des récidives de nécroses… Lire la suite Brûlures
Three dimensional (3-D) virtual reality models can be an effective tool for education and training in nuclear engineering applications. This technology can be used to model and simulate nuclear facilities with the help of custom-made packages and programming. This paper introduces useful features of a well known game engine, Unreal Engine III, for nuclear-specific virtual… Lire la suite Unreal
Les données de la sonde japonaise Kaguya, qui s’est écrasée sur la Lune le 10 juin, ont permis aux scientifiques de la mission de détecter pour la première fois de l’uranium sur notre satellite. La carte minéralogique en cours d’élaboration, qui se veut la plus détaillée possible, montre aussi la présence de thorium, potassium, oxygène,… Lire la suite SELENE
“FLEUR DE LYS” (2009) DU COLLECTIF HEHE (4 MIN. 45 SEC.) L’installation « Fleur de Lys » se concentre sur l’impact et l’implication culturels aux facettes multiples des nuages d’origine humaine. Dans cette installation, le nuage du champignon atomique prend une place centrale comme un effrayant symbole déjà hautement esthétique du progrès technologique. La maquette… Lire la suite Fleur de lys
Back in 2009, Simon Irish, an investment manager in New York, found the kind of opportunity that he thought could transform the world while — in the process — transforming dollars into riches. “The question was, ‘Can we do better than the conventional reactors that were commercialized 60 years ago?” Irish recalled. “And the answer… Lire la suite Terrestrial Energy
D’une façon générale, l’homme peut être exposé à des rayonnements ionisants à partir d’une source se trouvant à l’extérieur de son organisme : on parle alors d’exposition externe. Il peut aussi être exposé à partir d’une source ayant pénétré à l’intérieur de son organisme : on parle alors d’exposition interne. Le devenir biologique de l’uranium… Lire la suite Reins
We have now spent 12 years trying to sort out the effects of a radioactive environment on the local wildlife. We have performed a variety of experiments in the Zone. In one of our earliest studies, we found that the resident mouse population did not have any obvious chromosomal damage. We wondered whether the absence… Lire la suite Souris bleues
Le ministère de la culture et de la communication, l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) et l’IRD (Institut de Recherche pour le Développement ex ORSTOM) disposent aujourd’hui du nouvel équipement ARTEMIS (Accélérateur pour la Recherche en sciences de la Terre, Environnement, Muséologie). Inauguré le 8 avril 2004 au centre du Commissariat à l’Energie… Lire la suite ARTEMIS