« Moi, ce qui me plaisait le plus, c’était les panaches». Claude Parent le disait d’ailleurs aux équipes d’ingénierie, surprises que l’architecte dessine d’aussi gros nuages de vapeur sur ses croquis. « Ce qu’il y a de plus beau chez vous, c’est que vous faites des panaches qui sont propres, qui font une vapeur d’eau blanche, qui n’abîment pas le paysage et qui font un dessin gigantesque à l’échelle du paysage. Le vrai mythe de la transformation énergétique de votre petit machin d’uranium en électricité, quel en est le signe pour la population ? C’est ce panache » soulignait l’architecte visionnaire.
Boris Le Ngoc, Revue générale du nucléaire, 1.03.16