Silence

O.2017-2

Plusieurs témoignages restituent ainsi la texture sonore propre à ces espaces désertés, post-catastrophiques. On n’entendait aucun oiseau, diront certains. On n’entendait justement qu’un seul oiseau, diront d’autres. Un trop peu ou un trop-plein qui sonnent l’un et l’autre inhabituels.