Impres­sion­nés par leur capa­cité à se déve­lop­per dans ces condi­tions extrêmes, des scien­ti­fiques se sont penchés sur ces cham­pi­gnons appa­rus en 1991, soit cinq ans après la catas­trophe nucléaire de Tchernobyl. Ils ont décou­vert que ces micro-orga­nismes appe­lés Cryp­to­coc­cus neofor­mans ne se contentent pas d’y survivre mais sont comme atti­rés par les radia­tions. Cela serait dû… Lire la suite Cryptococcus