Fireball

D.1993-2

13 Décembre 1993. Un an après le crash du cargo jet El Al dans un immeuble dhabitation dAmsterdam où périrent 43 personnes, le centre de recherche sur l’énergie nucléaire dAmsterdam annonce que lavion contenait un lest duranium appauvri (1 500 kg).

Uranium pollution from the Amsterdam 1992 plane crash, Nuclear Monitor Issue No 463-464

13 Décembre 1996. Un an après le crash du cargo jet El AL à Amsterdam, le 4 octobre 1992, dans lequel périrent 43 personnes, la LAKA documentation ainsi que le centre de recherche sur l’énergie nucléaire d’Amsterdam annoncèrent que l’avion contenait un lest d’uranium appauvri.
Cette nouvelle inquiéta considérablement les résidents du quartier de la banlieue de Bjlmer (au sud-est d’Amsterdam) soudainement confrontés à une information que les autorités aurait préféré garder secrète. Encore aujourd’hui, de nombreux détails relatifs aux causes et aux effets de ce désastre restent troubles.
Loewenstein dans ces documents révèle que chaque Boeing 747 contenaient 1,500 kilo d’uranium appauvri. D’autres publications expliquent que ces composants sont par ailleurs présents dans les ailes ainsi que dans les gouvernails de direction.
Le physicien américain Robert L. Parker écrit dans la revue Nature, qu’en cas de scénario catastrophe, 250 000 personnes pourraient encourir des risques pour leur santé (proches de l’empoisonnement) en inhalant ou en avalant les particules d’oxyde uranium. Les conclusion de Parker assurent la présence de 450 kg d’uranium appauvri dans un Boeing 747.  Il déclare :  » Des tests réalisés par la marine américaine et la NASA ont montré que la température  de la boule de feu dans un crash d’avion pouvait atteindre 1200°C. Ces températures sont suffisamment élevées pour provoquer une oxydation rapide de l’uranium appauvri. »
« Uranium pollution from the Amsterdam 1992 plane crash », Nuclear Monitor Issue #463-464

 

 

http://archivesgamma.fr/1993/10/04/fireball