Jusqu’en 1996, des ouvriers ont manipulé des têtes nucléaires sur les missiles de la base sous-marine de Brest sans protection contre la radioactivité. Aujourd’hui, un collectif de retraités lutte pour que les morts précoces de leurs collègues et les cancers en série qui les affectent soient qualifiés en maladies professionnelles. Et que l’armée reconnaisse sa « faute inexcusable ».
Jusqu’en 1996, des ouvriers ont manipulé des têtes nucléaires sur les missiles de la base sous-marine de Brest sans protection contre la radioactivité. Aujourd’hui, un collectif de retraités lutte pour que les morts précoces de leurs collègues et les cancers en série qui les affectent soient qualifiés en maladies professionnelles. Et que l’armée reconnaisse sa « faute inexcusable ».